Je vous présente la solution pour laquelle j’ai opté afin d’obtenir une eau de qualité .J’ai basé mes recherches en fonction de 3 facteurs :
- Les analyses de l’eau après filtration ( ph, minéralisation, résidus toxiques)
- Le prix
- La place
Je vais vous expliquer en détail pourquoi j’ai choisi ce mode de filtration pour obtenir une eau de qualité, plutôt que d’énoncer pourquoi je n’ai pas choisi tel ou tel autre procédé.
Pourquoi purifier l’eau ?
L’eau, par l’air et les sols, reçoit tous les résidus de l’activité humaine, soit des milliers d’éléments indésirables.
N’oublions pas que la pollution s’impose même dans les endroits les plus reculés (lacs de haute montagne, glace des pôles, sources) et les nappes les plus profondes.
Dans divers pays, les travaux de chercheurs, médecins, professeurs et des études épidémiologiques montrent par exemple que:
- les pesticides et les nitrates touchent quasiment toutes les fonctions, surtout l’appareil digestif, respiratoire et le système hormonal
- l’aluminium et les métaux lourds sont associés à certaines pathologies neurodégénératives.
- le calcaire et les autres minéraux bruts (même non toxiques) sont associés à l’encrassage de l’organisme, la fatigue des émonctoires, surtout les reins.
C’est le Pr Vincent, fondateur de la bio-électronique , qui a établi le lien entre l’eau absorbée et les soucis de santé. Il a rapporté que les peuples qui vivent vieux et bien portants, notamment en Asie Centrale, jouissent d’une eau pure, d’excellente qualité.
A de rares exceptions près, l’eau pompée par les compagnies spécialisées n’est pas potable, il faut donc procéder à une dizaine d’opérations, du dégrillage à la chloration – lourdes, coûteuses, et néanmoins indispensable.
L’eau alimentaire est le produit le plus contrôlé, cependant une quantité de substances toxiques y subsistent, de manière potentielle et ponctuelle (pesticides, nitrates, métaux lourds, haloformes, produits radioactifs, bactéries, virus, etc) et sont nocives à court ou long terme. Leur toxicité peut être cernée à dose unitaire et pondérale, mais il est normal de se questionner sur l’impact de ce fabuleux cocktail de polluant sur les cellules vivantes.
Citation du Dr J. Rousseau : « l’eau vaut par ce qu’elle emporte, non par ce qu’elle apporte ».
Les bouteilles d’eau minérales, la solution ?
Au regard de la BEV (Bio Electronique de Vincent), seules quelques rares eaux de source sont conformes ( Montcalm, Rosée de la reine, et Mon Roucous )
En revanche elles sont contenues dans des bouteilles plastiques qui libèrent des perturbateurs endocriniens (notamment sous l’action de la chaleur). Rappelons que les bouteilles d’eau sont stockées durant des heures sur des palettes en plein soleil avant d’arriver dans les rayons des magasins.
De plus les bouteilles plastiques représentent une catastrophe écologique.
Une alternative aux bouteilles plastique ?
Les bouteilles et thermos isothermes sont l’alternative idéale pour transporter notre eau filtrée. Il existe une multitude de tailles, formats et couleurs. Cela permet de garder votre eau fraiche les jours de forte chaleur et votre tisane restera bien chaude par temps d’hiver.
Comment choisir ma bouteille isotherme ?
Un isotherme de bonne qualité doit être en acier inoxydable 18,8.
Vous pouvez trouver votre bonheur chez Yoko, Chilly’s bottles, Qwetch… disponibles en magasins bio et spécialisés, ou sur internet.
Quelle est la véritable solution pour boire une eau de qualité ?
Elle consiste à traiter l’eau chez soi, par un système de filtration mécanique naturel : l’osmose inverse , de très loin le plus efficace grâce à son seuil de coupure très bas (0,0001 micron).
L’eau doit ensuite être restructurée pour retrouver son harmonie avec l’environnement et son potentiel vital perdus au fil des traitements qu’elle a subi.
Pour finir, l’eau doit être épurée, très peu minéralisée et vivante (structurée et permettant de transmettre toutes informations).
Qu’est-ce que l’osmose inverse ?
L’osmose inverse consiste à faire passer, par une membrane d’une extrême finesse, un milieu liquide sous pression pour obtenir une eau très pure.
Cette technologie connaît une très large diffusion dans le monde. Adoptée par la NASA dans les années 1960 pour recycler les eaux usées et l’urine des astronautes. Elle sert à dessaler l’eau de mer, elle est utilisée par les industries pharmaceutiques, agro-alimentaires, dans la cosmétique, les stations de lavage…
Ce mode de purification est le plus efficace, et de loin, avec une filtration à 0,0001µ (au dix-millième de micron), ce qui permet d’éliminer 90 à 100% des éléments indésirables, comme nous pouvons le constater dans l’annexe à la fin de l’article*.
Selon le Dr Kousmine : « on obtient, avec l’osmose inversée, une eau aussi pure que si elle sortait d’une source naturelle », ce qui permet de retrouver le goût véritable des aliments et des boissons.
Il est important de préciser que l’eau de cuisson est toute aussi importante que l’eau de boisson. En effet les polluants pénètrent dans les aliments pendant la cuisson et sont directement absorbés par l’intestin grêle lors de la digestion.
La filtration, dans l’ordre chronologique est assurée:
- par une cartouche pouvant retenir les poussières et sédiments jusqu’à 5 microns,
- une cartouche au charbon actif traitant le chlore et une partie des pesticides (à longue chaîne), sels métalliques et autres matières toxiques, ou des cartouches combinées suivant la nature de l’eau du réseau,
- la membrane qui filtre le restant (bactéries, virus, nitrates, matières radioactives, etc.) des éléments à éliminer à l’égout.
Débarrassée de la quasi-totalité des substances qui la polluent, des minéraux qui la surchargent, l’eau peut encore être « dynamisée ». Grâce à une technologie qui la restructure, elle retrouve la résonance avec son environnement, et toute sa vitalité.
L’osmoseur
Nature Vivante propose deux osmoseurs différents, et personnellement je me suis équipée du moins onéreux mais moins pratique.
Plus précisément, il s’agit de deux cartouches reliées à deux tuyaux souples, un blanc pour l’eau purifiée et un rouge pour l’eau contenant les résidus polluants. Cela prend un peu de place à proximité de l’évier, car l’osmoseur se branche au robinet grâce à un « by-pass » (vanne de dérivation). Il a une capacité de 7 à 9 l/d’eau par heure, il s’agit donc de s’organiser pour toujours avoir de l’eau purifiée d’avance.
Le seul point négatif, mais indispensable si on souhaite une eau de qualité, c’est le gaspillage d’eau. En effet, l’eau pure est produite à un rendement constant d’environ 1 litre pour 3 à 4 de rejet. Avec un peu d’organisation, on peut récupérer l’eau pour les WC, faire la vaisselle, ou remplir le saut pour passer la serpillère….
L’osmoseur est à 250€, et les filtres qui sont à changer une fois par an sont à 60€.
Le modèle au-dessus, plus pratique car il est possible de fixer un robinet à côté de l’évier par lequel sort l’eau filtrée, est à 700€.
Vous pouvez contacter Nature Vivante au 0562054531 de ma part, il vous renseignera avec plaisir.
Je suis ravie de mon investissement. Et vous, quand passez-vous le cap ?
Mélinaturellement,
*TAUX DE RÉTENTION
de quelques éléments indésirables par le purificateur « O’ PURE »
Ces résultats, moyens et indicatifs, sont issus de la National Sanitary Foundation et de l’Office Fédéral de la santé de Californie. Ils sont obtenus avec une membrane neuve, et sont variables selon la pression, la température, la contrepression du réservoir et la composition de l’eau d’origine.
DESIGNATION Rejet en %
- Ammonium 85 à 95
- Aluminium 97 à 98
- Argent 97 à 99
- Bactéries 100
- Bromides 93 à 96
- Cadmium 95 à 98
- Chlore 90 à 95
- Chromates 90 à 97
- Cuivre 97 à 98
- Cyanure 90 à 95
- Fer 97 à 98
- Fluorures 93 à 95
- Haloformes 98
- Magnésium 95 à 98
- Manganèse 94 à 97
- Mercure 95 à 97
- Nickel 97 à 98
- Nitrates 95 à 100
- Pesticides 99 à 99,90
- Phosphates 97 à 98
- Plomb 95 à 98
- Polyphosphates 98 à 99
- Potassium 94 à 97
- Radioactivité 95 à 98
- Silicate 94 à 96
- Sodium 94 à 98
- Sulfates 95 à 98
- Trichloréthylène 98
- Virus 100
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